La Cour des Comptes et la Ville d'Agde...

Un article publié dans le Midi Libre du jeudi 9 février 2012, sous le titre " Tempête sur la gestion des stations balnéaires " font encore découvrir quelles " Anomalies " aux Agathois qui s'intérrèssent d'un peu plus loin à leurs Ville ( les autres sont au courant depuis longtemps).

La Cour des Comptes, explique dans cet article, quelques points surprenants : Quand à la législation sur les Zones inondables, les enquêteurs s'interrogent par exemple, sur l'opération de réhabilitation du Moulin des Évêques à Agde situé sur le lit de la rivière Hérault. " Le permis de construire a été accordé en contrevenant aux prescriptions du plan de prévention des risques naturels ", concluent les magistrat, même si les travaux ont eu pour effet de " réduire la vulnérabilité du bâtiment aux inondations ", ( * ce qui reste à prouver, d'une part, et d'autre part comment se fait-il qu'il est prévu de faire un parking souterrain également en zone inondable au camp naturiste ? ).

Dans la station gardoise, les magistrats indiquent que " des sous-traités ont été attribués à des proches de la municipalité ". * Mais d'après les Anciens à Agde ce serait pareil.

Qu'en outre, ces commerces ne représentent pas une source de revenus suffisante pour les villes par rapport aux sommes engagées pour l'entretien des plages. Les communes de Palavas, Agde et Sète sont sur la sellette.

Plongée en eau troubles : A Agde les redevances versées en 2009 ne représentent que 13 % des dépenses engagées pour l'entretient des plages.

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